Lettre mensuelle d'information des adhérents - N° 173 - Mai 2025

SOMMAIRE
Toutes les imagettes sont cliquables si vous souhaitez les agrandir.
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1. Alimentation : les intrigants oignons qui ne font pas pleurer

« Fini de pleurer », promet l’étiquette de ce filet d’oignons, à côté d’un logo « saveur de l’année 2025 ».

Promesse marketing ou réelle innovation ? Les conclusions de la vérification de Que Choisir sont sans appel : à l’épluchage, pas une gêne. À la découpe, pas une larme. À la cuisson, toujours pas le début du torrent qui habituellement s’abat sur les joues. À peine un léger picotement…

S’agit-il d’un OGM ? Non, répond Nunhems la filiale de la multinationale BASF qui a développé cette variété : « Les Sunions sont obtenus à la suite de séries de croisements naturels » et « suivant une méthode de sélection conventionnelle naturelle », sans usage des « nouvelles techniques génomiques de mutagenèse dirigée ou rayon X ».

Pour protéger le fruit de ces recherches, l’entreprise a obtenu en 2018 une sorte de brevet, appelé "certificat d’obtention végétale", comme cela se pratique couramment, en Europe, quand un semencier met au point une nouvelle variété. Jusqu’en 2043, seul Nunhems pourra vendre les semences de cette variété aux agriculteurs souhaitant la cultiver.

Cette variété présente tout de même un défaut : elle n’existe actuellement pas en bio, malgré un prix 4 fois supérieur à des oignons premier prix. De quoi tirer les larmes aux consommateurs sensibles tout autant des yeux qu'aux potentielles conséquences de leurs achats sur la santé humaine et l’environnement !

Source : Que Choisir

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2. Pression artérielle : connaissez-vous la bonne position du bras pour la mesure ?

Pour prendre la tension, la position recommandée est celle-ci : bras nu posé à plat sur une table ou un bureau, la paume de la main ouverte vers le haut. Ainsi le brassard se trouve à hauteur du cœur.
(cliquer sur l’image ci-contre pour l’agrandir)

Ces précisions ont leur importance. Si le bras repose sur les genoux ou le long du corps — 2 positions dans laquelle la tension est prise couramment — la mesure est faussée.

La pression systolique (le premier des 2 chiffres de tension) est surestimée de près de 4 mm Hg avec les bras sur les genoux et de 6,5 mm Hg avec les bras le long du corps.

De tels écarts se retrouvent sur la pression diastolique (le second des 2 chiffres de la tension).« Ce degré d’erreur peut conduire à des faux diagnostics d’hypertension » avertissent les chercheurs qui ont obtenu ces résultats.

Source : Que Choisir Santé

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3. Électroménager : pourquoi les cordons ont autant raccourci

Après plus de 20 ans de bons et loyaux services, votre grille-pain a rendu l’âme. Son remplacement semble une formalité.

Oui, mais… déception au moment de brancher le modèle acheté, son cordon électrique est trop court. Impossible d’atteindre la prise ! Nous voilà repartis pour trouver un appareil avec un cordon d’au moins 85 cm.

Dans une boutique, un vendeur évoque une tendance au raccourcissement. Il cite notamment « les fers à repasser dont les cordons mesuraient autrefois plus de 2,50 m alors qu’ils n’en font plus que 1,30 m aujourd’hui ». La diminution est moins forte sur les grille-pains mais « il n’y a pas de petites économies et quelques centimètres en moins sur des milliers de produits, c’est autant de gagner pour le fabricant », assure-t-il.

La tendance au raccourcissement est visible pour les centrales vapeur. La longueur maximale du cordon a chuté d’environ 40 cm entre?2007 et?2023. Sur une période plus courte, les robots pâtissiers sont aussi affectés avec une taille maximale réduite de 10 cm.

Il semble cependant qu’il y ait des politiques différentes selon les produits et vraisemblablement aussi selon les marques.

Source : 60 Millions de consommateurs

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4. Ai-je le droit d’entrer chez mon locataire en cas d’absence ?

En matière d'accès à son logement, la règle, et même la loi, sont simples : un propriétaire n'a absolument pas le droit d'entrer dans un logement qu'il loue sans avoir obtenu au préalable l'autorisation de son occupant.

Une interdiction qui vaut d'ailleurs pour n'importe quelle intrusion chez un tiers sans l'accord de ce dernier, mais qui découle en matière de relations bailleur/locataire du fait qu'un contrat de location permet au locataire de disposer d'un droit de jouissance entier et paisible du bien qu'il loue, comme l'inscrit dans le marbre la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs.

Au passage, cette règle vaut même quand un locataire ne paie plus son loyer. C'est pourquoi dans ce cas un propriétaire doit lancer une procédure d'expulsion.

De la même manière, un propriétaire ne peut pas organiser une visite surprise chez son locataire, par exemple pour s'assurer que son locataire entretient bien son logement, sans l'avoir prévenu avant de sa venue. Il peut, par contre, mais à condition que cette clause soit expressément mentionnée dans le bail de location, prévoir une visite tous les ans dans ce but. Malgré tout, même en présence de cette clause, le propriétaire doit avertir son locataire de la date de sa visite, et au moins 8 à 15 jours à l'avance, et il ne peut pas entrer dans le logement sans le consentement de son locataire au titre du respect de sa vie privée.

À noter aussi : un propriétaire est autorisé à conserver un double des clés du logement qu'il met en location. Mais cette faculté ne lui donne non plus en aucun cas le droit de pénétrer dans le logement de son locataire sans l'autorisation de ce dernier.

D'un commun accord entre le bailleur et le locataire, il peut toutefois être prévu que le premier soit autorisé à entrer dans le logement en cas d'absence du locataire, et seulement en cas d'urgence, par exemple si un dégât des eaux survient pendant ce temps-là. Mais, même si cette solution est prévue entre le locataire et le propriétaire, ce dernier doit tout de même avertir son locataire qu'il va être obligé d'entrer chez lui.

L'intrusion d'un propriétaire dans le logement de son locataire sans son autorisation est en effet caractérisée de violation de domicile, une infraction pénale, et son locataire peut même porter plainte contre lui à ce titre auprès d'un commissariat de police ou dans une gendarmerie pendant un délai de 6 ans après la survenue des faits. Cette démarche est gratuite.

Porter plainte après l'intrusion de son propriétaire dans son logement sans son accord déclenche une enquête pénale qui est confiée à la police ou à la gendarmerie, et qui permet de vérifier l'existence de l'infraction.

Source : Le Particulier

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5. Carte vitale : stockez-la sur votre smartphone… si vous y parvenez !

Comme de nombreux documents, la carte Vitale peut désormais être intégrée au smartphone. À condition d’avoir une carte d’identité au format carte bancaire et de réussir à arriver au bout de la procédure !

Voilà encore de quoi faire de la place dans le portefeuille, du moins pour les détenteurs de smartphone. Depuis le 18 mars dernier, la carte Vitale peut être dématérialisée, c’est-à-dire enregistrée et disponible sur le téléphone via une appli. Sous cette forme, elle conserve évidemment les avantages de la bonne vieille carte Vitale : chez un professionnel de santé ou à l’hôpital, elle identifie l’assuré et enregistre les actes facturés, avec télétransmission à la CPAM en vue de la prise en charge. En plus, les mises à jour se font automatiquement.

Attention, avant d’en arriver là, le parcours n’est pas simple. La dématérialisation, ça se mérite ! D’abord, la procédure est réservée aux personnes disposant d’une carte d’identité au format carte bancaire, préalablement enregistrée sur l’appli France Identité. Un processus qui, en lui-même, peut comporter des embûches insurmontables…

Selon les retours que nous avons, parfois ça marche sans difficulté, parfois ça bloque...

Source : Que Choisir

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6. Dons d’argent exonérés : aidez vos proches à devenir propriétaires

La loi de finances pour 2025 instaure une nouvelle exonération de droits de mutation en faveur des dons d’argent consentis à vos proches pour acheter ou rénover leur logement. Vous avez jusqu’à la fin de l’année 2026 pour en faire profiter vos descendants ou vos neveux et nièces.

Nos élus viennent de créer une nouvelle exonération d’impôt en faveur des dons familiaux d’argent qui servent à financer l’achat d’un logement neuf ou la rénovation d’un logement ancien. Bonne nouvelle, elle s’ajoute aux abattements et aux exonérations en vigueur en matière de donations entre proches. Mais attention, elle est soumise à conditions.

L’exonération s’applique dans la double limite de 100 000 € par dons effectués par un même donateur à un même donataire et de 300 000 € par donataire. Cela signifie que vous pouvez donner en franchise de droits de donation, en une ou plusieurs fois, 100 000 € à chacun de vos descendants ou, à défaut, à chacun de vos neveux et nièces d’ici la fin de l’année prochaine.

Par ailleurs, chacun de vos descendants et de vos neveux et nièces peut recevoir sans impôts plusieurs dons de 100 000 € de la part de donateurs différents dans la limite globale de 300 000 €. Par exemple, un enfant peut recevoir sans impôts 300 000 € de dons cumulés de la part de ses deux parents et d’un de ses grands-parents.

Cette nouvelle exonération est indépendante des avantages existants. Vous pouvez en faire profiter vos proches même si vous leur avez déjà consenti une donation classique ou un don d’argent exonéré d’impôt au cours des 15 dernières années.

Source : Que Choisir

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7. Des numéros à éviter

La Répression des fraudes poursuit son ménage chez les éditeurs de service ayant recours à des numéros surtaxés et à leurs opérateurs gestionnaires.

Cette fois, elle a ciblé des services d’astrologie, de renseignements téléphoniques, de téléphone rose et de voyance, mais aussi des sites proposant de l’aide aux démarches administratives, des concours et du conseil en patrimoine, soit au total 21 sociétés ; 8 ont été sanctionnées.

Certains fournissaient de fausses informations pour inciter à composer un numéro surtaxé ou faire durer les appels pour augmenter la facture. D’autres se dispensaient de leur obligation d’information sur le tarif après mise en relation. Deux opérateurs de service à valeur ajoutée (SVA) n’avaient pas suspendu des numéros ayant publié de fausses informations sur l’annuaire inversé. Résultat : 2 procès-verbaux pénaux, 2 administratifs, 4 procédures d’injonctions administratives et 1 avertissement.

En cas de facturation abusive, rendez-vous sur le site surmafacture.fr pour récupérer les coordonnées de l’éditeur de service, et leur signaler le numéro si vous n’obtenez pas satisfaction.

Grande méfiance dès que l’on vous incite à composer :
➢ un numéro à 10 chiffres débutant par 081, 082 ou 089 ;
➢ un numéro à 4 chiffres commençant par 10 ou 32 à 39 ;
➢ un numéro à 6 chiffres débutant par 118.

Source : Que Choisir

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8. Les diabétiques faisant confiance à des mesures douteuses se mettent en danger

Mesurer sa glycémie sans piqûre, par simple contact avec la peau, tentant pour les patients devant faire un prélèvement d’une goutte de sang pour analyse ou ne bénéficiant pas d’un capteur sous la peau.

C’est ce que proposent certains via des plateformes en ligne ou les réseaux sociaux sous la forme de montres connectées, de bagues ou moniteurs de glycémie à placer sur le doigt ; sauf que ces dispositifs présentent un risque considérable voire vital pour le patient.

C’est pourquoi la DGCCRF et l’ANSM (*), alertées par la multiplication des offres, recommandent de ne plus utiliser la fonction "glycémie" ou "blood glucose" de ces appareils dont la fiabilité et la sécurité n’ont pas été démontrées, s’appuyant sur des allégations trompeuses et présentant un risque majeur pour la santé avec des valeurs de glycémie erronées affectant les soins qu’elles peuvent imposer sans délai.

Certains vendeurs vont jusqu’à apposer les logos de l’ANSM (*), de l’INSERM, de la FFD (**) ou de la SFD (***) sur leurs publications, constituant une usurpation caractérisée de leur identité et laissant croire à des certifications ou validations de leur part (ce qu’ils ne font d’ailleurs jamais avec leur logo).

Ceux qui en ont fait l’acquisition peuvent se rapprocher de leur vendeur pour réclamer un remboursement. Dans tous les cas, un principe de base, consulter son médecin ou son pharmacien avant toute modification de modalité de suivi de glycémie.

Dans ce contexte, la DGCCRF a notifié les annonces illicites de ces produits aux plateformes de commerce en ligne et sites internet, qui ont engagé le retrait des annonces signalées. La DGCCRF poursuit sa surveillance.

(*)    ANSM : l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
(**)  FFD : Fédération française des Diabétiques
(***) SFD : Société Francophone du Diabète

Source : DGCCRF & Que Choisir

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9. Des centres d’ophtalmologie à l’œil

Sur 9 installés en France (*), 7 centres Ophtalmologie Express ont été déconventionnés par l’assurance maladie notamment pour des facturations frauduleuses, un a fermé boutique après contrôles administratifs et un s’est vu retirer son autorisation.

Actes fictifs, absence de professionnels de santé, actes inutiles ont été identifiés pour un préjudice de près de 6,6 millions d’euros pour l’assurance maladie. Les consultations dans ces centres ne sont désormais plus remboursées suite à ces actions.

Les cabinets ophtalmologiques ne sont pas les seuls centres de santé "déviants" puisque l’assurance maladie en a dénombré 52 depuis 2023 avec un montant de fraude atteignant 90 millions d’euros.

Malgré un cadre légal durci, la méfiance reste de rigueur pour les assurés incités à vérifier la cohérence entre les soins remboursés et ceux prescrits et/ou réalisés. La dispense d’avance de frais ne doit pas affecter la vigilance de chacun et un signalement à l’assurance maladie peut contribuer à faire cesser des pratiques préjudiciables à tous.

(*) Besançon, Brest, Dijon, Le Havre, Lorient, Metz, Paris 11, Paris 15 et Reims.

Source : Que Choisir

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10. Allergies : bientôt un nouvel indice pollen

En pleine offensive des taxons (particules de pollen) de bouleau, très allergisants, c’en est terminé des cartes du risque d’allergie aux pollens, des bulletins allergopolliniques et autres alertes personnalisées en fonction des allergènes. Le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), en charge depuis 30 ans de la surveillance des pollens dans l’air, vient d’être placé en liquidation judiciaire.

Pas de panique toutefois : depuis le 2 avril, Atmo France (1) a repris à son compte la diffusion de l’information sur le risque allergique. L’organisme publie un "indice pollen" avec l’état de la pollution pour le jour même et des prévisions jusqu’au surlendemain. Un plus par rapport aux estimations du RNSA, basées sur les relevés de capteurs manuels des jours précédents.

L’indice pollen intègre , en plus des données en provenance des stations de comptage, les variables météorologiques, qui influent beaucoup sur l’exposition. L’indice comporte 6 niveaux, de "très faible" à "extrêmement élevé", et il est possible d’isoler 6 types de pollen, en fonction de son ou ses allergies : aulne, bouleau, graminées, ambroisie, armoise et olivier. Manquent à l’appel 2 types d’allergènes majeurs : les pollens de cyprès et de noisetier. Ils seront pris en compte dans l’"indice pollen" l’année prochaine, assure Atmo France.

(1) Fédération des Associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA).

Source : Que Choisir

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11. Frais d’hospitalisation : les cliniques de nouveau recadrées

Chaque année, la DGCCRF reçoit de nombreux signalements de consommateurs en matière de facturations irrégulières par des établissements de santé. Des montants très élevés (jusqu’à plusieurs milliers d’euros) sont parfois facturés alors même que les patients ne sont pas toujours correctement informés des frais encourus et peuvent être affaiblis par leurs traitements médicaux.

Les prestations de conciergerie ou de "confort" (blanchisserie, hébergement en chambre particulière, hébergement des accompagnants, location de télévision, multimedia, etc.) se développent et constituent une source de financement importante pour les établissements de santé. La réglementation définit clairement les prestations pouvant faire l'objet d'une facturation et les modalités d’information des patients. Si les prestations non médicales sont autorisées, elles doivent faire l’objet d’une information claire, notamment en affichant des tarifs. De plus, leur facturation nécessite l’accord préalable du patient.

Les contrôles de la DGCCRF ont consisté à vérifier le respect d’un ensemble de dispositions issues à la fois du code de la santé publique, du code de la sécurité sociale et du code de la consommation.

Si la pratique irrégulière de facturation de "forfaits administratifs" sans contenu réel (transmission des informations à la Sécurité sociale ou aux mutuelles, procédure d’accueil… toutes prestations déjà comprises dans le prix des soins) semble avoir diminué, le taux d’anomalie reste élevé : 91 établissements sur 120 présentaient au moins une anomalie.

Les non-conformités les plus fréquentes relevées lors de l’enquête consistaient en des pratiques commerciales trompeuses, tendant à faire croire au patient que la prestation optionnelle et facultative qui lui était présentée était obligatoire. Ont également été relevés des manquements aux obligations relatives à l’information sur les prix, à la remise de devis pour des prestations de soins et aux conditions particulières de vente, ainsi que des manquements à l’information du patient-consommateur sur son droit à recourir à un médiateur de la consommation.

Source : DGCCRF & Que Choisir

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12. Un câble pour tout : la recharge universelle est (presque) là...

Depuis le 28 décembre 2024, la plupart des appareils électroniques vendus dans l’Union européenne doivent intégrer un connecteur universel de type USB-C. Même Apple, pourtant vent debout contre cette réforme, a dû s’y conformer.

Désormais, un même câble peut être utilisé pour recharger les appareils photo, casques et écouteurs, claviers, consoles de jeux, GPS, haut-parleurs, liseuses, souris et tablettes . Néanmoins, les appareils mis sur le marché avant cette date ne sont pas concernés par la mesure. Pour les ordinateurs portables, l’obligation entrera en vigueur le 26 avril 2026.

Le principal intérêt de la mesure est environnemental puisque, d’après la Commission européenne, cette uniformisation permettra d’éviter 11 000 tonnes de déchets électroniques chaque année.

Pour l’utilisateur, elle présente l’avantage de pouvoir utiliser un même câble pour recharger tous ses appareils. Ou presque, car certaines catégories échappent à cette uniformisation. C’est notamment le cas des montres connectées. Leur taille rendrait trop difficile l’intégration du connecteur USB-C. Étrange, car on le trouve sur les boîtiers d’écouteurs intra-auriculaires, qui ne sont guère plus gros. Autre bémol, les stations d’accueil des brosses à dents ou rasoirs électriques échappent à la réforme.

Source : 60 Millions de consommateurs

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